28 sept. 2013

MA VIE DANS LIBERACE

Steven Soderbergh , t'as commencé ta carrière par une Palme d'or, tu la finis avec un Emmy awards. C'est comme se dépuceler avec Brianna Banks et finir maqué à Kenza Farah : la pente raide.
Tu mets en scène dans ton ultime film un couple de grosses tanges, les Benoît et "La Josiane" de Las vegas, deux mauvaiiiiises qui se domso au carbone 14. Bordel, c'est moins Carré Viiip que Rondelle friiip ton téléfilm. Matt Damon c'est le diminutif de Mathieu Delormeau en américain ? Viens me chercher.
Matt Damon, je t'ai tellement tarlouzé (ici, ou ) que t'as fini par devenir un véritable engloutisseur de chibres, un fin gourmet de fions. J’ai eu pitié d’être ton fan number one quand j’ai entendu les louanges de Michael Douglas à ton égard : « Il embrasse très bien. » Quid du rimjob ? Fils de chien, vous jouez foutrement bien les gouines, Ma vie avec Liberace a moins eu raison de mon homophobie que de mon bon goût ciné.
J'ai beaucoup aimé le happy end quand le plus pédé des deux meurt du SIDA. Belle justice.
*  *  *
NOTE : 2 / 5
Je donne une note de 2 baisers de cinéma qui dérapent en annulingus sur 5 à Ma vie avec Liberace (Behind the candelabra)

Les 5 commentaires idiots

  1. Mais qu'est-ce que c'est que cette horreur!?

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  2. Mais c'est ASBAF ma chérie, mélange de cul et de mauvaise foi

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  3. Marre de lire des critiques basées sur l'émotion. Bande de gay.
    Cordialement. D.F.

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  4. Déçu : un blog de votre trempe qui aime se vautrer dans la fange et l’immondice, et même pas capable d’afficher deux grosses bites autour de Matt pour faire plaisir à votre lectorat gay… Putain, des stickers ASBAF, sérieusement ?

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Fous au moins un pseudo, les anonymes ça nous pète les yeukous.