28 févr. 2014

AMERICAN SBEUL

Un couple adultérin d’arnaqueurs du dimanche (Christian Trood’ Bale & Amy Wednesday Adams) s’associent à un looser du FBI (Bradley Mini Cooper) pour coincer un politicien véreux, le Balkany local (Jeremy Yves Renner). Sauf que l’officielle de l’arnacœur (Jennifer Lawrence anyways) va foutre un american sbeul dans la combine, normal la meuf est h-24 rrée-bou, le foie constamment imbibé; à défaut du couloir utérin.
HARD BRAINFUCKÉ
2h15 de flim et deux seuls mouvements de caméra : le travelling avant, le travelling arrière. Putain le réal David O. Russell a pris mon cerveau pour un trou d’balle, ce chien m’a fait un va-et-vient cérébral, je marchais plus droit après la séance.
À part ça, Christian Bale a enquillé les kébabs pour endosser le rôle. Boum 18 kilos de graisse pour le Dark night, ça t’apprendra gros sac à réclamer une double ration à l’Iztanbul. Hé Batman, sur ton salade-tomate-oignon, on sait qui versait la sauce blanche : Robin !
AMERICAN POUFF
J’en reviens pas, American bluff est nommé 10 fois aux Oscars ! Pour moi, la seule nomination que mérite ce film de merde c’est une neknomination. « Hé ho les amis fb, regardez comment je bois de l’alcool comme un mac [une gorgée de malibu coco plus tard] nique sa mère j’suis arraché, allez je nomine Jennifer, Bradley et Christian, prouvez-moi qu’il y a des grosses caisses à Hollywood ! »
Piètre scorseserie, American bluff a au moins le mérite d’avoir su rendre Amy Adams particulièrement bonnasse. Comment transformer un coton-tige usagé monté sur un 95C en un épicentre à foutre ? En lui teignant les cheveux. Comment métamorphoser un tromblon auburn en un aimant à burnes ? Des frisettes brunes et le tour est joué. Christina Cordula approved.
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NOTE : 1 / 5
Je donne une note de 1 neknomination à l’absinthe suivi d’un coma éthylique sur 5 à American bluff.

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Fous au moins un pseudo, les anonymes ça nous pète les yeukous.