11 janv. 2014

NYMPHOMANIAC : L'HISTOIRE D'UNE BIATCH

Note de L.M. : C'est la deuxième fois qu'on invite le Mec de L'underground à balancer une saloperie ici. Le Mec est dix fois plus connu aujourd'hui, la preuve, il sort un bouquin aux éditions Don Quichotte, ça s'appelle Le Boss de Boulogne, cours l'acheter enculé. A l'époque j'ai dû payer un tapin au Mec pour qu'il accepte de poster ici. Hier, il a fait livrer trois biatchs sucrées chez ASBAF juste parce qu'il commence à être blindé. Littérature = biff = baise. Place au texte.

Après 48 plombes défoncé au buvard et à l’eau écarlate, je ne me souviens plus comment j’ai atterri dans ce ciné du 18ème. Sans doute en passant par les égouts, vu que je kiffe bien me promener dans les souterrains quand je suis fracasse. Comme je ne suis pas du genre à molarder dans la soupe, je me suis dit que j’allais en profiter pour me téma un petit film.
La dernière fois que je me suis pointé au ciné, ça remonte à loin. A Irréversible, le film de boule à l’ancienne. Et là, j’ai choisi de voir Nymphomaniac de Lars Von Truc, parce que je m’intéresse vachement à tout ce qui est en rapport avec la baise. Je dirais même que le bouillavage me passionne. 
Nymphomaniac se décompose en deux parties, la première est donc en ce moment à l’affiche. Dans le premier rôle, la fille de Gainsbar, le pouilleux qui fume des clopes. Cette zouz ne m’a jamais foutu la trique, déjà parce que ses loches ne sont pas siliconées, ensuite parce qu’elle fait coincée du derche, et moi je ne kiffe que les taspés. La fille de Gainsbar, je suis sûr qu’elle n’a pas de piercing au clito. Mais bon, je me suis dit « vas-y », c’est déjà ça si j’arrive à choper une demi-molle. 
Le début du film est un peu relou, on y voit un vieux trainant dans la rue, quand soudain il tombe sur Joe (incarnée par la fille de Gainsbar), éclatée comme une serpillère sur le macadam, la gueule en vrac. Déjà que l’actrice ne fout pas la trique, avec des gnons sur la face c’est encore pire. Le ieuv a tellement tièpe qu’il recueille Joe chez lui, mais on ne va pas se mytho, sans doute aussi dans l’espoir de lui défourailler l’oignon. 
C’est là que le blabla commence et que Joe raconte sa life au vieux qui s’en bat certainement les steaks. N’empêche le ieuv, il fait la technique du mec à l’écoute, du genre « ta vie est fascinante, suce ma bite ! ». Et la racli va parler pendant deux plombes de sa chnèk, de ses deux piges jusqu’à l’âge adulte.
Donc au début, tu vois Joe étant gamine, quand elle découvre sa teucha, puis plus tard quand elle se fait planter l’hymen, puis ensuite dans sa phase de rébellion. Et à chaque étape, le vieux la stoppe dans son récit pour lui poser des questions de merde et philosopher. Moi dans la salle, j’attends les scènes de baise, braquemart en main. Et ben putain, ce n’est pas plus bandant qu’un Marc Dorcel !
Je m’attendais à voir de la triple-péné, de la gorge-profonde qui se termine en flaque de gerbe, de la sodo brutale, du fist, du bukkake, du creampie, du Glory Hole, du ass-to-mouth, du pissing mais que dalle, non seulement les scènes n’ont rien de hardcore, mais en plus elles sont suggérées (ça veut dire planquées, on doit les deviner). Bon, c’est vrai, il y a la scène du train, où Joe pompe le chibre d’un ancien, mais rien à voir avec Brutal gagging N°6. Pas de bouffage de grelots, de titillage de gland avec la langue ou de crachats sur la bite. Joe ne sait pas chnikave, exécute des mouvements chiants et répétitifs et c’est bien dommage, autant pour le vioque que pour moi qui suis venu quand même dans l’espoir de me taper une queue.
A la fin de cette scène, Joe recrache le sperme du keum, pas pour le partager avec sa pote en mode swapping, nan, pour rien. Et pourtant, toute la salle réagit, se marre ou sort des petits cris de dégouts. Il en faut peu pour les spectateurs, heureusement qu’ils n’ont pas rodave ma collection de snuff movies, surtout celui dans lequel mon pote Samy retire l’œil de l’orbite de sa victime pour y carrer son gourdin dedans (j’appelle ça une branlette opticienne)…
N’empêche, c’est une bonne technique pour voir qui dans la salle prend la giclure dans la bouche ou pas. La zouz à ma droite, sourit en voyant la fille Gainsbar recracher le foutre. Obligé, cette meuf pépon comme une acharnée ! Je pécho sa main et la fous sur ma queue, elle se lève scandalisée et se taille de la salle. Et nan, en fait c’est une coincée !
D’ailleurs, quand je reluque la salle, je vois bien que les spectateurs ont majoritairement la dégaine des pélos de Saint-Germain. Lars Von Turque, je me demande ce qu’il a branlé. Pour donner aux gens la sensation d’être ouvert d’esprit, il raconte une histoire de cul, à laquelle il rajoute de la philo, histoire que ça fasse intello. 
Mais Nymphomaniac au niveau de la subversion, c’est wallou. Un gang-bang serait plus subversif, c’est pour te dire. Et pour paraitre encore plus intello, Lars Von Trique a découpé le film en chapitres dont les titres sont en latin. En latin mon frère, la langue qu’on ne pénave plus depuis les années 70 ! Bah moi, tu veux que je te dise ? Nique sa mère le latin ! Toujours cette sale habitude d’intelloliser la bouillave ! Je te jure, dans la salle, j’avais envie de gueuler « rentrez chez vous, Youporn c’est gratos ! ».
L’histoire reste sur le même schéma jusqu’à la fin du film, entre Gainsbar en quête de bite H24, et le ieuv qui l’interrompt toute les deux minutes pour conceptualiser et jouer le psy. Mais une question perdure : arrivera-t-il à lui péter le fiacre ? 
Enfin bref, tu as pigé où je voulais en venir. Moi et le ciné, ça fait 69. Je rédige une kitrike chez Asbaf, histoire d’aller pêcher d’autres lecteurs pour à long terme palper un max de zeillo. Et déjà que je ne kiffe pas le ciné, je suis obligé d’aller voir un film relou. Un film qui parle de baise, sans jamais en montrer. C’est le blème, Nymphomaniac est considéré comme un film érotique, et qui dit « érotisme » dit « à chier ! ». 
Nan franchement, sans vouloir insister sur ce point, ça manque de squirting et de blowbang. En fait Nymphomaniac, ce n’est pas que je ne kiffe pas. Nan, c’est que c’est de la merde ! Même ma grande-daronne est plus bandante quand elle retire ses chicots pour les foutre dans son verre de kavod. 
A la fin de ce film chelou, pendant le générique, ils présentent des extraits de la deuxième partie de Nymphomaniac. On y voit la fille Gainsbar tailler une pipe. Et ce sera sans doute sous cet angle que je traiterai la critique de Nymphomaniac partie 2, si j’ai la hass de devoir aussi me le coltiner. C’est quand même une révélation, et ça peut intéresser les journaux people : la fille Gainsbar ne sait pas sucer.

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Fous au moins un pseudo, les anonymes ça nous pète les yeukous.