19 janv. 2014

YVES SUCE LAURENT

Le lobby gay franc-maçonnique récidive : après Les garçons dans Guillaume affable !, débarque sur les écrans le nouveau blockbuster des goinfres du zgeg, j’ai nommé YSL, moins le biopic du couturier que sa rectum love story avec Pierre Bergé.
En effet, à part dessiner trois quatre robes, Yves passe le plus clair de son temps à tâter le bâton de Bergé.
GAY SAINT-LAURENT
Tu l’auras compris, devant ce film d’assaisonneurs de fions, le seul sein que tu verras à l’écran c’est Saint-Laurent.
Outre brosser dans le sens du poil du cul les spéléologues du rectum qui osent peupler les Terres ancestrales de Vercingétorix et Charles Martel, YSL vise à vendre du parfum et taper le marché asiatique, le luxe faisant mouiller les Chinoises, avec cette fiche Wikipédia platement illustrée.
NI OUI NINEY
On prédit un César pour Pierre Niney ? Mon gars, le seul prix que tu mérites pour ton interprétation d’YSL, tu le recevras des mains de Vincent Cerutti. Sosie ! Or not sosie ? pour le p'tit Pierre. Tu fais illusion dix minutes, après on capte vite que Saint-Laurent est joué par un ado de douze ans avec une carrure en pain Harris.
Dans le rôle de Bergé, c’est Gallienne, cet aimant à chibres nervurés, qui tire son épingle du jeu. Sans connotation. Normal pour un film financé par ledit mécène Bergé… Vivement le Bonello.
*  *  *
NOTE : 0 / 5
Je donne une note de 0 VIH sur 5 à YSL.

Les 2 commentaires idiots

  1. Le remake friqué de "La cage aux folles".

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  2. J'ai bien ri! Tu mérites une bonne Young Sodomite Levrette mon chti Vincent!

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Fous au moins un pseudo, les anonymes ça nous pète les yeukous.