2 nov. 2014

#CHEF : LA CRITIQUE GASTRO

Riche, Blanc, Gras : Jon Favreau c’est pas un réal’, c’est un cheesecake. Hé gros, tu l’as trouvé où le scénar de #Chef, sur Marmiton ? Sans dèc’, deux heures à filmer des sandwichs, je sais pas, t'as jamais entendu parler d'Instagram ? Parlons de la chose tout de suite : le “#” de #Chef laisse entendre qu’il y a une dimension de plus dans ce film que dans un épisode de Bon appétit bien sûr, faux, c’est juste un cheat-code scénaristique pour faire avancer le schéma narratif quand Favreau à la flemme d’écrire un truc correc’. Le menu : Carl Casper, Chef cuisinier, se fait mettre à la porte de son restau et démarre un food-truck, il en profite pour réparer les liens brisés avec sa famille.  Va plutôt me faire un steak-frittes pendant que je vais gerber. 
Pas mal de trucs qui me vénèrent dans ce film, mais l’ego trip de Favreau est le pire. Voilà le tableau : ScarJo, Dustin Hoffman, Robert Downey Jr, Sophia Vergara, John Leguizamo et Bobby Cannavale sont sur un plateau et à qui Jon Favreau donne le premier rôle ? Jon Favreau. C’est quoi son problème ? Tu te dis, le type va assurer, et bah même pas, c’est une humiliation, son jeu d’acteur est merdique. De toute façon quand un gros ricain sous-entend qu’il se tape ScarJo et Sophia Vergara dans le même film c’est qu’il n’arrive plus à monter les blancs en neige. En tout cas avec cette masse corporelle on me fera pas croire que Favreau peut survivre un week-end en bouffant que de la chatte. C’est dingue comme il est devenu fat après avoir réalisé les Iron Man, c’est pas #Chef qu’il fallait tourner, c’est WeightWatchmen. 
Je dirai rien de plus de cette perte de temps, ma commande MacDo est arrivée, je vous laisse avec un poème que m'a inspiré la toujours sucrée Scarlett Johansson pendant ce film, seule à sauver :

Délicieuse, par Thomas.

Aller-retours à poêle ? Fais pas ta mijotée.
Cuisson en bain-marie, t’es si bien fagotée.
J’sors les épices, ça t’fait vapeur,
J’suis comme au self-service, t’es mon autocuiseur.
Prête à être enfournée, 180 degrés,
Oublie le rôtissage, c’est d’jà l’heure du glaçage.

Les 2 commentaires idiots

  1. Salut c'est Maxence, wesh, t'aime bien parler comme un djeuns dans tous tes articles bitch ouai y'a même un certain amor amor de l’excès de superlatifs, d'abrév et de franglish.
    C'EST SUPER RIDICULE (voir aussi : relou ). Non mais sérieusement c'est impossible à lire. J'espère que vous mettez pas ce site dans vos cv d'aspirant critiques chez Vice. Bisous.

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  2. Putain que cette critique est belle !

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Fous au moins un pseudo, les anonymes ça nous pète les yeukous.