13 janv. 2013

THE MASTER, MAÎTRE ÈS TAPETTES

Si tu t'appelles Corentin, Timothé ou Joachim, j'te crache dessus. Aussi, j'ai toujours haï les mecs avec un bec de lièvre, reconnais qu'il y a un truc pas clair chez eux. Je sais donc pas vraiment pourquoi j'ai payé ma ce-pla pour The Master de Paul Anderson featuring l'autre tanche de Joachin Phoenix : le mec a plus un bec de lièvre, il a Stephen Hawking écrasé sur la gueule.
Donc j'ai eu peur pendant tout le film, surtout lors des gros plans sur la paralysie faciale du mec qui pose à chaque instant cette question : J'me casse ou j'attends les scènes de cul ? Nickel ton tour de magie Paul, ça aurait presque pu faire diversion ac' tes dialogues achetés en soldes. Mais vu le virage que prend le film au bout de cinq minutes, tu commences à prier pour que ce soit le plus platonique possible.
Ouaip, The Master est une bromance pédée entre le Raël des années 50 boosté au Bigmac (Philip Seymour Hoffman) et son disciple, le Travis Bickle d'la Deuz' Guerre Mondiale, avec moins de "You talkin' to me ?" que de "Finger my ass, please Master !". Le scénar essaye de planquer non sans médiocrité le côté tanche des deux personnages, en les foutant constamment au milieu de femmes à poil ou en train de faire des pâtés de sable en forme de putes... connard d'Anderson, caiss' t'as cru, ton film LGBT a même dû flinguer le gaydar de John Wayne.
Pour accueillir ce film dont tu devines les dialogues à chaque scène, dialogues apparemment écrits par Bruno, le triso qui a fini par prendre un bain un peu trop long (coïncidence ?), toute la clique des journalistes ciné s'est réunie pour partouzer un peu avant de déclarer The Master comme chef d'oeuvre de cinéma. D'ac'. Alors pour qu'il y ait chef d'oeuvre, bande de sacs, faudrait déjà que le ciné soit un art : c'est pas parce que le kebab de Moktar dans le 20ème arrondissement est le meilleur plat que t'aies bouffé cette année que c'est un chef d'oeuvre. 
Et puis bon, Moktar il fout de l'antivomitif et de la viande de rat dans son kebab, donc le critique ciné t'es gentil, tu prends ton vagin et tes goûts de chiotte et tu fous le camp des salles de ciné. Quant à vous lecteurs et lectrices, faites attention à ce que vous lisez. Bon manche-di.

Les 9 commentaires idiots

  1. Le cinéma n'est pas un art? Bizarre. Apparemment j'ai raté un meeting.

    RépondreSupprimer
  2. Je voudrais ajouter que le jeune Bruno a battu le record du monde d'apnée hauts les chromosomes, de plus de 17 jours. Et contrairement à ce qu'on a pu entendre, ce sont des juges du guiness book qui l'ont repêché et pas des keufs.

    RépondreSupprimer
  3. Vos critiques à base de base "film de dep" ou "truc pour les petites caisses" commencent à devenir répétitives !

    RépondreSupprimer
  4. Loin d'être un chef-d'oeuvre (même si je n'aime pas trop ce terme) mais il mérite tout de même plus d'attention que ce que vous lui offrez là !

    RépondreSupprimer
  5. Bien envoyé !!! Le cinéma c'est pas un art !!! LOOLILOL

    RépondreSupprimer
  6. OUAIS Le cinéma et les kébabes c'est kife kife !!! c'est pour les pedales albanaisses et les tanches, pas pr les macs et les grosses caisses !!!

    Continué les gros vous défoncez tous !!!

    RépondreSupprimer
  7. C'est quoi ton truc avec les pédés en fait, tu en parles tout le temps maintenant, tu refoules grave on dirait. Suis prêt à me sacrifier pour te faire découvrir les joies de la prostate, comme ça après tu seras moins obnubilé par la peur d'une bite dans le cul et tu baveras sur les noirs ou les lesbiennes féministes.

    RépondreSupprimer
  8. @ mymp : Notre haine des gays n'est pas un refoulement, c'est une ligne éditoriale. Un manifeste intellectuel. Un appel au meurtre.

    RépondreSupprimer
  9. T'es pas crédible, chéri.

    RépondreSupprimer

Fous au moins un pseudo, les anonymes ça nous pète les yeukous.