Déjà à Cannes on t’en foutait plein les écoutilles, on t’en rebalance une couche ces jours-ci dans la presse, Holy motors est une bête de film, un « ovni » comme on en voit jamais en France, alors ‘ksamère moi aussi j’ai voulu tester le 7ème art dernière génération. On va pas se mentir, j’ai jamais vu un film aussi nulàch’ de toute ma vie. J’aurais pu t’écrire une trikite aussi longue que le dico pour t’ekspliquer à quel point Holy motors est pourrave. À la place, je t’ai listé les 3 grosses bévues du réal Leos Carax, c’est cadeau :
* Passer pour un poète maudit alors que t’es juste très très con.
T’as la réput’ d’un artiste incompris mais c’est normal bonhomme, t’es con comme la Lune. Voilà pourquoi à tes 30 berges personne pouvait blairer tes films. Tu sors Holy motors à l’âge de raison, on te croit assagi et désormais réfléchi : tu parles, t’as torché ton scénar avec tes potes de l’hôpital psychiatrique et fais passer ça pour une réflexion sur le cinoche. Le temps d’une nuit, un mec (Denis Lavant, ton seul ami dans le milieu) se balade en limousine, il s’y déguise pour devenir le personnage des scènes de ton film, il répète l’expérience 11 fois, le temps de s’assassiner à 2 reprises. Tu fais passer ça pour une méditation sur le cinéma, la création, la cohabitation de l’acteur et des nouvelles technologies, l’art, tout ça. Et il y aura toujours quelqu’un pour voir en toi « le fils de Borges, Dali et Ionesco » (Ecran Large). Les cons.
T’as la réput’ d’un artiste incompris mais c’est normal bonhomme, t’es con comme la Lune. Voilà pourquoi à tes 30 berges personne pouvait blairer tes films. Tu sors Holy motors à l’âge de raison, on te croit assagi et désormais réfléchi : tu parles, t’as torché ton scénar avec tes potes de l’hôpital psychiatrique et fais passer ça pour une réflexion sur le cinoche. Le temps d’une nuit, un mec (Denis Lavant, ton seul ami dans le milieu) se balade en limousine, il s’y déguise pour devenir le personnage des scènes de ton film, il répète l’expérience 11 fois, le temps de s’assassiner à 2 reprises. Tu fais passer ça pour une méditation sur le cinéma, la création, la cohabitation de l’acteur et des nouvelles technologies, l’art, tout ça. Et il y aura toujours quelqu’un pour voir en toi « le fils de Borges, Dali et Ionesco » (Ecran Large). Les cons.
* Ne pas savoir quoi foutre d’Eva Mendes.
Balèze comme t’es, t’as réussi à enrôler une star américaine dans ton film de merde, Eva Mendes. T’as un sex-symbol sous ta direction et tu lui fais porter la burqa. De surcroît, tu kiffes tellement ton pote Denis Lavant que tu le fous à walpé en plan-séquence en train d’agiter 15cm d’érection sous le nez de la pauvre Eva. Prétends que c’est du cinéma si tu veux, moi j’appelle ça une faute professionnelle. En bonus track : t’as déguisé Kylie Minogue en Jean Seberg période À bout de souffle, primo pour qu’on fasse bien le parallèle entre toi et Godard, secundo pour qu’on comprenne bien pourquoi la plus midget des pop-stars n’a qu’un tube à son actif.
Balèze comme t’es, t’as réussi à enrôler une star américaine dans ton film de merde, Eva Mendes. T’as un sex-symbol sous ta direction et tu lui fais porter la burqa. De surcroît, tu kiffes tellement ton pote Denis Lavant que tu le fous à walpé en plan-séquence en train d’agiter 15cm d’érection sous le nez de la pauvre Eva. Prétends que c’est du cinéma si tu veux, moi j’appelle ça une faute professionnelle. En bonus track : t’as déguisé Kylie Minogue en Jean Seberg période À bout de souffle, primo pour qu’on fasse bien le parallèle entre toi et Godard, secundo pour qu’on comprenne bien pourquoi la plus midget des pop-stars n’a qu’un tube à son actif.
* Compiler les idées les plus foireuses du 7ème art dans ton climax.
Le film va sur sa fin, ton spectateur a fait l’effort de rester dans la salle, tu pourrais le ménager. Au contraire, tu donnes tout de toi-même dans le dernier sprint avant le générique final. D’abord, ton alter-ego Lavant nous gratifie de la réplique du siècle, du petit lait pour tous les amateurs de Michel Audiard : « Taxi, suivez ce pigeon ! » Eric et Ramzy n’auraient même pas osé. Après sa longue nuit de travestissement, Lavant, toujours lui, rentre au domicile conjugal et retrouve bobonne qui n’est autre… qu’un chimpanzé. Ton dernier choc cinématographique c’est Mookie, Carax ? Enfin, il s’agit là du clou du spectacle, ton film s’achève sur un dialogue entre des limousines dont les feux stop clignotent à mesure qu’elles prennent la parole. Bien sûr, les limos parlent aussi bien anglais que français car t’es un international five star filmmaker ducon.
Le film va sur sa fin, ton spectateur a fait l’effort de rester dans la salle, tu pourrais le ménager. Au contraire, tu donnes tout de toi-même dans le dernier sprint avant le générique final. D’abord, ton alter-ego Lavant nous gratifie de la réplique du siècle, du petit lait pour tous les amateurs de Michel Audiard : « Taxi, suivez ce pigeon ! » Eric et Ramzy n’auraient même pas osé. Après sa longue nuit de travestissement, Lavant, toujours lui, rentre au domicile conjugal et retrouve bobonne qui n’est autre… qu’un chimpanzé. Ton dernier choc cinématographique c’est Mookie, Carax ? Enfin, il s’agit là du clou du spectacle, ton film s’achève sur un dialogue entre des limousines dont les feux stop clignotent à mesure qu’elles prennent la parole. Bien sûr, les limos parlent aussi bien anglais que français car t’es un international five star filmmaker ducon.
Conclusion : ASBAF > les critiques de cinéma.
J'avais pas l'intention d'aller voir ce film. Là je me dis , pourquoi pas quand même. Une erection de 15 cm sous le nez d'Eva mendes vaut peut être le détour !
RépondreSupprimerJe te mets 22 cm sous le nez quand tu veux, darling.
RépondreSupprimerBeaucoup de sarcasmes et de punchlines gratuites, mais très peu de cinéma et surtout d'analyse! C'est drôle? Oui c'est drôle! Très, même! Mais c'est aussi très prétentieux comme posture. Sous couvert de dérision et de second degré, le ton décrète tout de même l'air de rien de manière sentencieuse et balance sans faillir ses certitudes à l'emporte-pièce, le tout enrobé par une sorte de subversivité finalement très bon marché comme on en voit fleurir depuis quelques temps un peu partout sur le net. En fait, tout ceci n'est que la nouvelle forme de bien-pensance contre-culturelle!! Alors comme disais l'autre : j'me marre!! Mais c'est tout! Quoique, c'est déjà pas mal me direz-vous!
RépondreSupprimerhaha yen a un qu'a pas fait caca ce matin, vu ton phrasé ampoulé tout porte à croire le la bien-pensance comme tu dit se secoue la nouille devant ton air contrit, car dans ton commentaire finalement il n'y a rien d'autre que ce tu trouve dans cet article que tu n'aime pas, c'est à dire rien de moins qu'un avis, en un sens absolument sans intérêt, mais terriblement joussif.
RépondreSupprimerbisous poussin.
Je veux bien de tes 22cm sous le nez Vincent... Surtout si c'est de la bonne colombienne !
RépondreSupprimerJe n'ai pas vu le film. Je n'irais pas le voir. Je n'éprouve aucun intérêt pour les films de Carax. Je me suis déjà infligé (je répète, infligé) des "passages" des Amants du Pont Neuf et de Pola X (j'écris des "passages" parce que j'étais parti pour les regarder en entier et que ces pelloches m'ont lâché en route). Je ne reviendrai jamais vers une œuvre de cet artiste.
RépondreSupprimerJe ne comprends pas les commentaires soulignant une dérision, un second degré, un air contrit, un ampoulage, une prétention (qui se colle à Leos Carax : poète au nom de Les oscars), ce texte de Vincent est au premier degré. Il est direct. aucun détour n'est employé. Il est clair dans son propos mais je regrette que Vincent n'ait pas été plus virulent contre ce film et son auteur. Ceci dit, j'approuve.
Vous laissez peu de place à la nouveauté, même si ça doit être un délire à la Dupieux et son Rubber. Carax est un arnaqueur comme Michael Bay, mais on continue à aller le voir. Tout le monde c'est déplacer pour aller voir un handicapé se faire pousser par un noir alors pourquoi n'irait-il pas voir ça, adhérez ou vouz créverez! Sinon je vous donne raison.
RépondreSupprimerpas encore vu mais j'irai car Carax a realisé "mauvais sang", si vous avez vu ce film vous avez le droit de parler, sinon retourner vers les 22cm.
RépondreSupprimerArrête ton char, Vince, ça s'est vu que t'es jaloux de Carax et de son talent. Et de Denis Lavant et de sa prothèse en guise de pénis.
RépondreSupprimerÀ Fresh-BUZZ : Rubber est une merde qui se prend pour un film "complètement délire".
RépondreSupprimerÀ trucmuche : j'ai vu tous les films de Carax (dont Mauvais sang) et n'en ai aimé aucun. Son moins pire est peut-être son premier (sans doute parce qu'il avait moins de sous).
À Vincent : bizarre, mais je ne te vois pas avec 22 cm...
Aux "sérieux" : est-ce bien nécessaire ?
À Neil : où as-tu vu une prothèse ?
Je kiffe cet article :)
RépondreSupprimerbon allez c vrai que j'ai encore 1h30 de "pola x" à regarder depuis 2 ans, mais "mauvais sang" qd meme...
RépondreSupprimerbon sinon, kylie minogue et la prothese ou pas? eva mendes? sinon c sur, ca peut etre une deception ce film
A pierreAfeu : sympa ton site
Un article pour Carax? Vous êtes trop sympa avec cet imposteur.
RépondreSupprimerj'ai vu le film ce midi..... C'est LE FILM MERDIQUE DE L'ANNEE
RépondreSupprimerles critiques cinéma sont aussi con que les critiques d'art moderne qui jouissent à la vue d'une toile pleine de déjection d'oiseau. Ce film est la toile pleine de déjection d'oiseau du 7ème art.
Il n'a aucun sens, aucun intérêt
Mouais! Pas très perspicace tout ça!
RépondreSupprimer"Denis Lavant, ton seul ami dans le milieu"
Avec Edith Scob, Michel Piccoli, Eva Mendes, Kylie Minogue... dans la distribution, j'ai déjà vu plus dégueu comme casting pour un mec soi-disant seul!
A propos de Eva Mendes : "T’as un sex-symbol sous ta direction et tu lui fais porter la burqa"
Parce que tu t'attendais à quoi? Qu'il lui fasse tourner un scène de boules sous prétexte qu'elle est bonasse?
J'avais vu le titre de ce billet mais je tenais quand même à voir le film avant de lire l'avis...
RépondreSupprimerJe confirme m'être fait balader par un fumiste qui a la critique dans sa poche. Ce film est une injure au cinéma.
Mon impression en sortant de la salle, c'est que Carax pourrait chier un gros étron dégueulasse par terre, le faire exploser avec un pétard, recouvrir le tout de confettis avant de le faire avaler par des porcs unijambistes que, là encore, la presse placerait ça sous le sceau du génie.
Non, et puis ces deux dernières scènes...sérieusement...
Et l'espèce de scène en motion capture : on s'en branle du making-of de Tekken 5 !
Et puis le rôle de Denis Lavant n'a rien d'exceptionnel : Eddie Murphy fait encore plus fort dans Le Professeur Foldingue.
On aime on aime pas je m'en fiche. Moi j'aime.
RépondreSupprimerMais alors par contre quel article de MERDE !
c'est la critique d'un pauv médiocre, ça... complètement idiot
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAh.....la scène des limousines! Mon pauvre Carax. Grand mal t'en as pris de conclure ton chef d'oeuvre avec une explicitation premier degré destinée à faire sentir aux imbéciles qu'ils ont quand même pigé un dixième de ton film. Tu leur a permis de pouvoir s'exprimer sans complexes. C'est ma seule réserve. Le reste est tout bonnement joussif et parfaitement maîtrisé.
RépondreSupprimerMon cher Vincent, sans vouloir t'offenser, rien ne sert de te perdre dans un discours confus pseudo intello ( et terriblement mal écrit ) en truffant ta critique de références culturelles. D'accord, on a bien compris que tu te sentais particulièrement intelligent. ( tu connais Audiard, Godard, Ionesco, Dali et même Eric et Ramzy...). Mais en ce qui concerne « Holy Motors », tu es juste passé à côté. Rassure-toi, ça arrive. Mais dans ce cas là, on abandonne gentiment ce petit ton pédant de subtile cinéphile pour faire amende honorable. Tu n'as été ni sensible à l'esthétique, ni à la mise en scène, ni à l'humour et quand je te lis, c'est à se demander si ton cerveau a réussi à réceptionner quoi que ce soit de philosophique dans le scénario.
Ce qui me dérange dans ta critique n'est nullement le fait que tu n'aies pas aimé le film. On peut tout à fait être réticent au style de Carax, j'en conviens. En revanche, prétendre que c'est « pourrave » et « nulach' » ( riche lexique) sous prétexte que tu n'as rien capté à l'affaire, autant dire que ça m'échauffe les naseaux. Ta critique suinte le sarcasme mal conçu du jeune rebelle qui lutte aveuglément contre le snobisme culturel bobo-parisien. Nul doute que tu dois apprécier le cinéma de qualité. Mais pas trop. Après, on comprend plus. Et on se vexe. En ce qui te concerne, vaut mieux s'en tenir à du Xavier Dolan, ça reste compréhensible et ça fait intello.
Mais quelle conne.
RépondreSupprimerOOoooooh !
RépondreSupprimerHaha! Vexés comme des poux, les "esprits libres" de la critique ciné. Et encore, on est sympa, on commente que sous la brillante critique d'Holy Motors. (Thomas, arrête, la force de tes arguments me ferait changer d'avis)
RépondreSupprimerLes esprits libres me semblent un peu tendus, ce soir.
RépondreSupprimerPourtant, on a quand même fait la démarche d'expliquer en quoi la critique était "pourrave". Estime-toi heureux Vincent, t'as même pas fait ce plaisir à Carax.
RépondreSupprimerA quoi bon argumenter, quand on a un style aussi rebelle. Merde alors! si écrire "nulàch" et "pourrave" à propos de Leos Carax, c'est pas révolutionnaire, je sais pas c'que c'est.
Oui on est vraiment hyper vexés les tromblons, d'ailleurs Vincent est parti téléphoner à sa mère tellement il se sent mal et puis moi je suis en train de me scarifier la bite en maudissant vos familles.
RépondreSupprimerAh ouaip nan vraiment quelle cruauté, c'est atroce, atroce.
Bordel, L.M. nous a cassées, Dehaine. Ca sent le mec qui maîtrise la rhétorique. On a hâte de lire tes articles, vraiment.
RépondreSupprimerKikoo douce Elisa, je te réponds parce que t’es du genre à préparer ton avenir précaire en khâgne littéraire où on t’apprend à argumenter sur tout et rien, d’un coup tu débarques sur le blog ciné le plus pourri de l’internet et tu casses les couilles. En plus t’as ramené avec toi ta voisine de table, tendre Marielle, fallait pas.
RépondreSupprimerDéjà tu baisses d’un ton, c’est pas parce que ton frère t’a dépucelé que ça te donne le droit de gueuler. Alors oui j’ai pas pu blairer Holy motors et j’exprime mon dégoût pour ce film vraisemblablement de façon intelligible puisqu’une vingtaine d’autres abrutis que toi ont réagi. Je vais pas pondre un exercice de style pour expliquer le pourquoi du comment Leos Carax fait de la merde, je m’appelle pas Raymond Queneau. Alors sors de chez toi, va en soirée et découvre le vocabulaire du XXIème siècle, on écrit pas comme aux Cahiers ici.
Bien sûr, j’aurais pu écrire comme je l’ai lu un peu partout des clichés pour prouver que je suis aussi malin qu’aux Inrocks, du type « un film-monde », des trucs du genre. Sauf que ça n’est rien de tout ça, le film n’a pas de sens et c’est tellement facile de lui en créer. Mais puisque tu es si maline, explique-nous la philosophie du film. Ô enseigne-nous de la pensée Caraxienne. Ô fais de nous des limousines.
Et après on t’encule.
Haha! Je suis pliée, bordel. La répartie de gros beauf bien vulgaire, ici. Allez, on se détend le slip, Vincent.
RépondreSupprimer" Je vais pas pondre un exercice de style pour expliquer le pourquoi du comment Leos Carax fait de la merde, je m’appelle pas Raymond Queneau "
=> Oui, on confirme.
Bon sang, Vincent, je laisserai répondre Elisa à cette vilaine attaque, mais quand je te lis, je comprends que t'aies pas ri une fois devant Holy Motors. Effectivement, vous n'avez pas du tout le même humour. "C'est pas parce que ton frère t'a dépucelé" (bon, normalement, c'est dépuceléE, mais bon, on va pas trop t'en demander), "après on t'encule", là vraiment c'est le fou rire, cette conclusion bien subversive. T'es un foufou, toi.
RépondreSupprimerJ'ai un fou rire.
RépondreSupprimer" On écrit pas comme aux Cahiers, ici "
=> On confirme aussi.
Je sens qu'on va se faire finement insulter Marielle.
RépondreSupprimer" Wesh, bande de connes de prépa littéraire, on vous encule! On est des esprits libres, ici !".
On s'apprête à glousser...
Je pense justes mes très chères que vous n'avez pas compris grand chose au blog.
RépondreSupprimerC'est dommage de voir que vous passez à côté de l'humour - dont le langage peu châtier fait partie - des tauliers...
Bien heureusement, il faut de tout pour faire un monde !
Haha! Putain, ouais merde, l'humour du blog. Ca, faut pas passer à côté. Heureusement que pour se marrer, y a Asbaf, à défaut de piger Holy Motors.
RépondreSupprimerNous, on pense justes, que quand tu t'prends pour un critique ciné un peu subversif, le minimum c'est de piger ce que tu vas voir, et si c'est pas le cas, de pas trop la ramener.
Ou alors, tu peux te permettre, effectivement de faire une critique un peu ironique sur Carax, mais bon là, c'est raté. On patauge dans la connerie, la vulgarité, et la lourdeur.
Par contre, l'humour est bien meilleure dans les comm', effectivement : "kikoo, je te mets mes 22cms sous le pif quand tu veux". Haha. Bordel.
Pour conclure : on suggère aimablement à Vincent et sa clique de créer un blog " humour gras " au lieu de se faire passer pour des critiques ciné en rébellion contre l'élite. On sent que derrière la lourdeur et la bêtise assumée, ça se prend au sérieux et ça cite de la culture à tour de bras. (laissez-la nous, ça ira) Comprenez que ça nous pousse au snobisme. Mais comme tu dis, FanGirl, faut de tout pour faire un monde, malheureusement.
RépondreSupprimerSans rancune, Asbaf. On a bien ri.
Waouw autant d'ouverture d'esprit ça en met plein la gueule, c'est déroutant...
RépondreSupprimerJe me demande bien ce qui vous manque dans la vie pour être si frustrées et avoir besoin de vous exprimer avec temps de verve et d'agressivité...
Ça doit être un gros manque et j'en suis sincèrement peinée pour vous...
Pour ce qui est de la compréhension du second degré, le fait d'accepter qu'on n'ai pas tous la même opinion sirupeuse, ni apparemment la même façon de réfléchir et de penser, je m'abstiendrai de polémiquer...
Et sinon pour être si réactive et n'avoir rien d'autre à faire, vous faites quoi dans la vie... Enseignantes?!
Sans rancune.
@UneFangirl : t'as un zéro sept mademoiselle ?
RépondreSupprimerMarielle et Elisa, on a bien compris qu'on vous avait blessées dans votre chair de femmes avec ce post sur Holy Motors et probablement d'autres films que vous-mêmes n'avez pas compris, mais si vous pouviez venir faire la vaisselle à la rédac' au lieu de perdre votre journée à rafraîchir cette malheureuse page en espérant voir s'afficher une réponse d'un des tauliers, là ouaip sans problème je vous accorde cinq ou dix minutes pour vous écouter glousser.
RépondreSupprimerBise mes chatons
J'suis née avant 90, je n'ai qu'un zérosix, désolée ! ;)
RépondreSupprimerEt pendant ce temps-là, elles ont toujours pas su nous expliquer la soit-disant philosophie de leur film de pute... Ça fait un mois que j'attends de comprendre, n'ayant pas les armes pour entraver un dialogue de limousines. J'ai pas la chance d'être en possession d'un prestigieux master philo à Lille 3 moi.
RépondreSupprimer"Faut de tout pour faire un monde"
RépondreSupprimerHeu, FanGirl, va regarder Arnold et Willy et fous nous la paix.
Bite, couille, nichon, liberté, enculade, rire gras, "putain c'est génial, à fond dans la déconne on est des saltimbanques rebelles".
Ca va j'ai le niveau pour participer à votre blog soi-disant iconoclaste ?
Ferme ta gueule sale pute.
RépondreSupprimerEt ma gueule, carrément sur ton nez de puceau qui se croit subversif, alors qu'il ne fait que reproduire une attitude snobinarde et faussement décontractée parce-que vulgaire.
RépondreSupprimerLe vrai défi, ce serait d'être décalé et classe, mais vous en avez pas les moyens, avec une bite à la place du cerveau.
Vous vous prenez au sérieux en prétendant ne pas le faire, et ça c'est pathétique. Vous croyez qu'être vulgaire et jeuniste ça suffit pour être anti-snob. Ca fait juste de vous des gros cons anti-intellectuels pseudo-rebelles et frustrés, et du coup complètement snob et beaufss : des snobeaufs.
J'te prends au baby-foot au Ratisbonne quand tu veux, merdeux.
J'ai dit ferme ta gueule sale pute.
RépondreSupprimerElle croit vraiment que quelqu'un ici va se faire chier à lire ses conneries, c'est mignon.
Et pi d'abord : pute d'accord mais pas sale.
RépondreSupprimerpute, chier, conneries.
RépondreSupprimer(ferme ta gueule, non homologué)
ASBAF : three points
ASBAF : trois points
Allez vas-y mon puceau, sors tout ton vocabulaire de CM2, tu peux encore faire mieux !
C'est très très drôle ce que tu racontes gros tromblon.
RépondreSupprimerPar contre, tu dois avoir quelques complexes vis-à-vis de ta vie sexuelle pour faire une fixation pareille sur l'insulte puceau. Tu sais, même les filles laides ont droit à quelques coups de bite. Même quitte à payer. Allez.
Sale pute.
Toshiro : Merci de me faire découvrir une nouvelle série, c'est cool.
RépondreSupprimerConcernant le reste, c'est assez amusant de parler d'"attitude snobinarde et faussement décontractée parce que vulgaire" tout en essayant vaguement d'utiliser le même registre...
Ce n'est pas encore gagné mais tu as l'air d'avoir tellement envie de faire partie de l'équipe que tu peux toujours persévérer, on ne sait jamais...
Quant à ton argumentaire, bon, voilà, on ne va pas s'épancher !
Sur ce, je te conseille d'aller voir ailleurs au lieu de pourrir l'article avec des commentaires inutiles.
FanGirl, merci pour ton argumentation "c'est celui qui dit qui y'est". Par contre il faudra me montrer à quel moment j'ai été vulgaire, connasse.
RépondreSupprimerQuand à l'idée d'apporter de l'argumentation ou le concept de pourrir le blog qui s'auto-proclame (dans un grand geste d'auto-dérision de hipster trop cool) le cinéblog le plus pourri du net, il y a là un paradoxe qui dépasse mes capacités de raisonnement. (oui, vas-y grosse perche pour me traiter de débile ; je t'aide un peu à trouver de la vanne).
LM, si je te qualifie de puceau, c'est par rapport à ton incroyable envie de parler de cul tout le temps, qui me fait penser que ta vie sexuelle doit ressembler à celle de Starbuck. La mienne, merci, elle se porte très bien. (et là tu peux lâcher ta vanne pourrie sur des relations sexuelles avec ma mère).
FanGirl comprendra jamais le deuxième paragraphe.
RépondreSupprimersalut les gars (L.M., Vincent, whatever)
RépondreSupprimerravi de découvrir votre blog !
très rafraîchissant. bon esprit, bon humour, bonne attitude.
plutôt excellent.
vraiment hyper cool !
je me suis hyper bien marré en lisant votre article ! ça doit être bonnard d'être potes avec vous ! vous traînez parfois à Oberkampf le week-end ? sinon on s'est peut-être déjà croisés dans une soirée Vice ?
quel dommage que je sois trop lâche et feignasse pour défoncer vos sales gueules de petites sous-merdes arrogantes à coup de batte de base-ball quand je vous croise, à moins que je sois trop accaparé par l'envie immédiate de dégueuler... car vraiment j'ai pas que ça à foutre mais vous démolir la tronche de manière définitive, je sais pas, par exemple à bon coups répétitifs (une trentaine histoire de bien faire le boulot) de vos têtes de noeuds sur le bord du caniveau, puis pas oublier de pisser dans vos petites bouches édentées et ruisselantes de sang bien rouge, je disais, j'ai pas que ça à foutre mais c'est bien dommage car ce serait tout de même assez salutaire.
branlez-vous jusqu'à la fin, satisfaits de votre bêtise, de votre ignorance, de votre rien absolu, de votre vie de merde, sales petits fils de putes bourgeois dans l'esprit, râclures irrécupérables.
vraiment bien sympatoche votre blog !
bye
Coucou heil hitler,
RépondreSupprimerJe viens de lire ton commentaire et j'ai désormais une grande peur que toi, ton nickname de rebelle et tes cent-trente kilos de graisse ayez un jour l'idée de quitter ton appart crado plus que mensuellement juste pour venir lancer tes petits poings grassouillets dans notre direction.
Maintenant tu la fermes fat boy de merde, et tu nous lis en la bouclant.
Hep, aidez vos élites, ancien khâgne, j'aimerais quand même comprendre le film et sa philosophie, sinon, je retourne à ma thèse sur Ed Wood.
RépondreSupprimer