Suite aux nombreux commentaires négatifs émis dernièrement,
je me suis remis en question sur la qualité des articles de ce blog. J'en suis
venu à la conclusion qu'il était temps de rehausser le niveau intellectuel de
nos chroniques en proposant des articles travaillés et réfléchis, axés autour
d'une dissection des œuvres avec analyse et étude cinématographique réelle. On
commence dès aujourd'hui avec Le Hobbit, sa transposition dans le monde réel
avec étude sociologique dans un contexte géopolitique au Proche-Orient. Vous
verrez, ça sera passionnant !
Prenons notre sujet : Le Hobbit, film d’aventure et de
science-fiction de Peter Jackson . Beaucoup d’entre vous connaissent ce
dernier pour sa trilogie crypto-gay du Seigneur des Anneaux, qui racontait la
découverte de la sexualité à travers le voyage entreprit par Frodon et sa
communauté – même la dénomination fait référence au terme employé pour désigner
le cadre homosexuel – . La Terre du milieu n'était que le vaste monde imaginé
par son héros aux pieds poilus dans sa quête du plaisir, celui-là même
matérialisé sous forme d'anneau. De la Comté en tant que symbole de joie et
d'allégresse à l'image de la masturbation, en passant par l'elfique cité de
Fondcombe pure et céleste comme le sexe consenti d'une relation hétérosexuelle,
jusqu'au Mordor et sa tour surplombée d'un goatse comme destination finale aux
tendances SM, interraciales (Orques) et incestueuses (Gollum), le voyage
initiatique de Frodon aura créé quelques émois chez les fanboys non assumés. De
cette première étude, un élément se trouve maintenant avéré : Tolkien
était un homosexuel refoulé.
Le Hobbit donc, c’est un bouquin de J.R.R Tolkien, l’auteur
de la trilogie de pavés précédemment citée. Il raconte le périple d’une
escouade composée de treize nains, d’un magicien et d’un hobbit. Dis comme ça,
ça ressemble vaguement à une blague avec un Français, un Belge et un
Américain ; c’est presque ça, on en est pas loin. La dite troupe part à la
reconquête du royaume perdu des nains : Erebor. Pas vraiment perdu genre
on sait plus où il est, mais plutôt envahi et gardé par un dragon attiré par le
trésor dont la terre regorge. Plutôt simple jusque là, non ? Maintenant
transposez l’histoire au Proche-Orient, et vous comprendrez que J.R.R était un
prophète.
Qu’est ce que Le Hobbit, sinon l’allégorie de la
Palestine ? Un groupe de barbus exclusivement masculin, dans une société
patriarcale, qui se fait chasser de ses terres par un envahisseur ailé et armé
jusqu’aux dents. Des familles exterminées et déplacées pour la richesse de leur
sol et le butin amassé des années durant. On pourrait même voir en Erebor la
métaphore d’une Jérusalem occupée, d’ailleurs c’est l’anagramme de la ville
sainte en hébreu. Comment ne pas comprendre la représentation de l’exode
palestinien à travers la fuite des nains ? Ou même ne pas voir le cliché
juif dans la figuration de Smaug, le dragon aux dents longues, aux griffes
acérées et à la puissance dévastatrice ? Une seconde chose est désormais
établie : Tolkien était pro-palestinien.
Pour conclure la chronique en vous donnant un avis non
objectif, le film n’est pas hyper mauvais, mais reste quand même très chiant.
2H45 pour voir des mecs marcher, monter des poneys, se battre avec des épées elfiques tout en essayant de rester viril, et avancer si peu dans l’histoire,
c’est regarder 2H45 d’un vide maîtrisé mais parfaitement ennuyeux, le summum
étant atteint par l’interlude OSEF du magicien brun et de ses lapins sous
crack, dont la valeur ajoutée à l’histoire ici est tout à fait comparable au
caractère incontestable d’avoir Jar Jar Binks dans Star Wars. Dernière chose,
évitez d’énerver Gandalf, il fait du napalm avec des pommes de pin. Un peu
soupe au lait le garçon.
Ca part très loin dans l'analyse et les comparaisons, mais curieusement ça tient la route :D
RépondreSupprimerCa manque de gros mots en verlan par contre..
Monter des poneys ? Précise ta pensée..
RépondreSupprimer@ copa : les insultes en verlan c'est ma marque de fabrique, je suis en quelque sorte la caution bougnoule caillera d'la téc' du blog.
RépondreSupprimerJ'approuve à 100% cette analyse.
RépondreSupprimerPALESTINE VAINCRA!!!!
Comme quoi on voir dans les films ce qu'on veux bien y voir. En tout cas j'ais bien rigolé.
RépondreSupprimerCommentaires négatifs ??
RépondreSupprimerAttendez vous êtes géniaux, drôles, provocateurs, jeunes et décapants. Tels des Marcel Duchamps de la critique, vous renvoyez la médiocrité à la face de vos lecteurs, vous faites de l'or avec du caca. Vous niquez le système de l'intérieur. C'est mortel. Continuez.
Enorme, j'adore :)
RépondreSupprimerTon parallèle Tolkien pro palestinien aurait tenu la route s'il n'avait pas écrit le hobbit avant la création de l'état d'Israël. Par contre la métaphore de là recherche de l anneau deguisé en homosexualite ça ça a le mérite d'ouvrir le débat voire plus si affinité. Vous êtes au top , pas de langues de bois ni de saintes nitouche. Des analyses en profondeur et décapante. Ça fait plaisir à lire
RépondreSupprimertout à fait d'accord. De mon point de vue, j'ai fait le lien avec la palestine dés le début du film! c'est bien pour ça que je suis allé le voir, vu que la trilogie SDA est basé sur le nouvel ordre mondial! Mr Tolkien nous a prevenu que Sauron dupera le monde! En dehors du faite que c'est un pure chef-d'oeuvre incontestable, il ya un profond message derriére! Comme dirait Dieudo, là on est en surface, là ça devient de l'art!!
RépondreSupprimerpar contre Le Hobbit j'ai pas aimé. Un scénario vide, long à démarrer, on dirait une comédie où chaque acteur veut faire rigoler, un maitre orque on dirait qu'il est en plastique avec des cicatrices bien linéaires bien parallèles... Enfin bref une histoire gâchée par un manque de dosage évident. Au bout de 25 minutes j'ai commencer à regarder ma montre. Disons que c'est un bon film pour qui aime les effets spéciaux, qui ne s’intéressent qu'à la technique
Ah aha ah.
RépondreSupprimerUn fan de Dieudonné qui croit aux théories sur le nouvel ordre mondial, et qui trouve que le "SDA" (il manque pas un I dans ton truc?) c'est un chef d'oeuvre.
décidément asbaf, vous avez les fans que vous méritez.
A force de croire que le grand méchant loup c'est le politiquement correct, et qu'en faisant des blagues racistes ou des femmes à poils c'est le summum de la subversion, vous vous donnez une contenance de rebelle... alors que maman repasse encore vos blouses pour vos cours de sciences du lendemain.
ah oui, et comme la critique a ses limites avec vous, ce post sera supprimé. par contre les conneries de l'autre dégénéré dieudonnistes ça va rester.
Le plus drôile c'est quand même ça "la trilogie SDA est basé sur le nouvel ordre mondial! Mr Tolkien nous a prevenu que Sauron dupera le monde!"
RépondreSupprimerHé autopsy, au lieu de regarder des vidéos de rockin squat, renseigne-toi sur les idées de Tolkien.
Ok, alors moi j'ai bien aimé cette (longue) masturbation orgasmique de 2h45 de fan service, de presque déjà vu et promenade gay gang bang entre potes barbus. Ben oui, c'est un livre pour enfants les mecs (avec pleins de sous entendus, ok) et c'est à prendre comme tel. Et dans le genre, c'est plus bandant que Narnia ou cette fiente sous Tolkennienne d'Eragon...
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