13 nov. 2010

THE SOCIAL NETWORK : UN DESTIN DONT ON SE BRANLE

Ahhh Facebook, formidable outil créé par un parvenu verni et vénéré par tout mongolien 2.0 qui se respecte. En parlant de ça, je sais très bien que toi aussi sur ton facebook :
– T'aimes montrer que t'es un vrai citoyen engagé en étant fan de "marcher pieds nus dans l'herbe", du "soleil" et des "vacances scolaires".
– T'imposes à tes e-friends l'actu de toutes les belles merdes bobo-hypes du moment genre "Sexy Sushi" (tu me permettras d'ailleurs l'usage des guillemets comme sacs plastiques allégoriques, ceux destinés à ramasser les étrons de clébard), "Christophe Honoré" ou "Toxic Avenger" histoire de bien coller à ton image de connasse branchouillarde jeune demoiselle dans la vibe.
– T'as au moins 500 friends parce que toi t'as pas raté ta vie, même si, c'est vrai, tu ne connais en vrai que ta maman, tes deux collègues de bureau qui t'affichent chaque matin et ton ancien copain de collège connu pour tailler sa colle UHU en forme de gland qui, entre temps, s'est reconverti dans le spam de vidéos de chiots heureux sur ton wall.
– Enfin, tu prends probablement un plaisir non dissimulé à créer un merdier pas possible d'albums souvenirs, masses improbables de photos floues de tes vacances de prolo dans le Morvan ou de ta dernière soirée biture, celle où t'as fini dans un camion-poubelle direction le centre de tri parce que tes potes perchés à 10 grammes t'ont jeté comme une vulgaire merde, mais ça va, tu t'es "détaggé", ta maman ne te virera pas de chez elle.
Je sais aussi que pour toutes ces raisons, t'as été au cinoche voir le dernier Fincher, The Social Network. Allez arrête de mentir, tu peux tout dire à tonton.


Mais ça va parce que t'as l'impression que c'était dément, et c'est vrai : le cheminement de Mark Zuckerberg, le nerd juif à l'origine de facebook, est bien conduit et lui y est formidablement dépeint en gros tâcheron opportuniste sous les traits de Jesse Eisenberg (tiens tiens), l'ersatz spirituel de Michael Cera mais avec un nombre médicalement viable de chromosomes 21. A Harvard, on forme les cons à devenir les trüe übermenschen des Youhaisses, enfin seulement les fils de banquiers évidemment ; ici, le con est le petit Mark, un loser sentimental qui vole une idée novatrice à deux sportifs, palpe un max dessus et se fait traîner en justice, credits roll. Deux trucs assez fendards avec The Social Network, les protestations de ce gros malin de Zuckerberg contre l'équipe du film qui ne font qu'appuyer la probable véracité des récits développés pendant deux heures, et l'image très marquée des femmes du film, toutes juste bonnes à pomper des nœuds – et pas ceux du Commandant Cousteau si tu vois ce que je veux dire.
Bref, je postais pas pour t'expliquer pourquoi c'est bien parce que de toute façon t'as vu le film : j'ai commencé cet article parce qu'il y a un gros problème avec The Social Network. Le gros gros problème, c'est : mais qu'est-ce qu'on en a à foutre exactement de sa putain de vie extra-utérine au père Suckerberg ? Par David Fincher en plus... c'est bien mon Davidou, ça sent pas du tout le renard ton affaire, t'as évidemment fait ton film pour dénoncer l'attitude innaaaacceptable de Zuckerberg et pas pour faire la pute de luxe auprès de 500 millions de clients potentiels, hein. Un film sur Facebook, putain : la prochaine étape c'est quoi, Yann Arthus-Bertrand nous sort une anthologie de clichés de tampax usagés ? Van Gogh revient d'entre les morts pour brosser la tronche de Steevie sur une toile ?
La plupart des critiques professionnels© de la blogosphère et des magazines se branlent en cercle en prenant Fincher pour le messie parce qu'on a "enfin un film qui fait éclater la vérité au grand jour!", "c'est vrai ouin ouin d'abord Zuckerberg c'est qu'un voleur!". Bien, sauf qu'il faut quand même se trimballer avec des balles de golf à la place des yeux pour croire que Mark Zuckerberg, avec la tronche de teubé qu'il doit assumer, aurait un jour pu inventer l'eau chaude. C'est très gentleman pour les plus bêtes d'entre nous, je pense cependant qu'il n'était pas primordial de le signaler en foutant autant de thunes dans la broyeuse à papelard.
ASBAF félicite chaleureusement The Social Network, qui remporte donc notre Onsenbatlescouilles d'or 2010. Sur ce, je retourne sur mon facebook ajouter des types que je ne connais pas et que je pokerai furieusement ensuite. Bise.

Les 32 commentaires idiots

  1. Je préfère quand-même "on s'en branle" à "on s'en bat les couilles".

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  2. D'ailleurs ça me rappelle quand pour m'en branler de la vie des gens je regarde mon fil d'actualité sur fessebouc et je me branle.

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  3. Tout à fait d'accord avec l'article, Fincher se plante de sujet, même si le truc insipide qu'il sert il le fait avec talent; Encore faut-il que ce soit Fincher qu'ai fait le film, vu l'objet conventionnel, rien n'est sur...

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  4. Putain, grave qu'on s'en tape le noeud de sa p'tite vie merdique de branle-bite (y'a assez de GROS mots, je suis bien dans le ton?).
    C'est vrai, que la chiasse que nous a vendue la presse sur le nouveau maître-thriller fincherien est un beau foutage de gueule en règle. On pourrait presque avancer qu'ils nous ont fait avaler des couleuvres. J'dis ça mais moi je ne suis même pas de Montpellier, alors...

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  5. Ça fait partie du jeu aussi que de faire des films dont la moitié des gens s'en tamponne (mais dont une bonne partie ira quand même voir le film). Je suis d'accord avec ce que tu dis mais il n'empêche que le film est somme toute bien fait, et si on met à part le fait que tout ceci est inspirée d'une histoire vraie, le scénario n'en reste pas moins agréable !

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  6. Déjà le trailer ne m'inspirait pas, mais alors pas du tout. Il laissait entendre que le monsieur en question était en fait un pauvre martyre ayant voulu créer un e-reseau pour le bien de l'humanité et qu'au final tout le monde le détestait, pauvre petit loser devenu riche à milliards, bouhou... Du coup ça fait plaisir d'avoir (encore) économisé 9€ au cinoche du coin, merci les copains.

    Sinon va falloir m'expliquer pourquoi l'acteur principal ressemble plus au créateur d'un site social d'un autre genre (où on poste aussi de belles images mais où tout le monde s'insulte) qu'au père Zuckerberg. A quand "The anti-social network", avec de gros morceaux de lulz dedans?

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  7. Bon allez, tournée de boite à rage >> [__] Mettez y toute votre rage, névrose et jalousie, il y a de la place ne vous inquiétez pas. Ah ! Et n'hésitez pas à en faire profiter vos amis ou bouches trous. Parce que mine de rien, ce petit martyr et merdeux est devenu milliardaire avec son joujou pour pucelles, nolife, anti-social, pervers, cassos etc... tandis que je/tu/il/nous/vous/ils [être] toujours des petit(e)s daubes qui [cracher] sur la société et sur les films. (PS : les verbes entre crochets sont à conjuguer avec le sujet que vous aurez scrupuleusement choisis.) Et comme dirait Anelka "Je suis MDR".

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  8. Haterz. Gonna. Hate. Effectivement, la vie du mec on s'en tape et d'ailleurs j'ai pas pensé une seule seconde que ce fusse à n'importe quel moment l'intérêt du film, ma foi fort divertissant et extrêmement bien foutu ne serait-ce que sur le plan du scénario qui est impeccable; et puis, pour un teen movie, le thème du wannabe noname qui veut -plus que du fric, d'ailleurs- la reconnaissance de ses pairs est assez bien abordé compte tenu de la redondance du thème dans la production américaine. En plus, on ne peut pas vraiment dire que c'est un salaud total puisqu'il avait déjà presque la totalité du concept et les frères n'ont servi qu'à provoquer une sorte de déclic chez lui. Et les frères, eux, leur argument c'est qu'il les a ralenti afin de mieux les doubler et là on sait pas trop ce qui s'est vraiment passé, la scène où il est reçu dans le vestiaire tend à montrer que le mec s'en battait un peu les couilles, en fait, des frères; qu'il avait juste pas vraiment envie de bosser pour eux. D'autant que les mecs auraient rien fait avec leur idée de toute façon : ils auraient trouvé qui avec les compétence de Zuckerberg pour le remplacer ? Bref, mais ça c'est un peu l'aspect nébuleux et absolument non-artistique dont je suppose qu'on est en droit de se branler. Et pour revenir sur le scénario, mélanger le teen movie avec le film de procès c'était engageant et je trouve que le cahier des charges est rempli. Crier au génie serait une surestimation mais s'inscrire dans l'exact contraire juste pour le fun et visiblement sans avoir vu le même film que moi, ça me semble un brin débile.
    Je crois que je me suis gouré de blog, je pensais qu'on critiquait des films, ici, pas qu'on faisait son Hunter Thompson exposant moins un en brassant de la sociologie de comptoir du point de vue d'un lémurien. Non/20, monsieur.

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  9. @ Anonyme de 18h52 : merci de nous expliquer le film mais on s'en branle de ce que tu dis. En plus les commentaires trop longs sont chiants.

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  10. @Drap-Housse de 9:56 : morsay ne serait pas de ton avis.

    @MDB: indeed.

    @Stoni : il n'y a pas de ton ici, juste des mon !

    @Sacriledge: Ouaip vrai, j'ai néanmoins précisé rapidement que le film était agréable à mater, mais ce n'était pas le but de cet article.

    @Kodzuki : grave, d'ailleurs il y a un site du genre "anti-social network", mais son intérêt a l'air un peu limité.

    @anon de 17:42 : troll harder my boy.

    @Anon de 18:52 : toi, tu m'as l'air d'être le parfait prototype du dégénéré qui se pointerait dans une conversation pour expliquer tout un tas de choses évidentes point par point et où tout le monde finit un peu gêné parce que tu t'es complètement gouré de sujet. Tu me ponds une vingtaine de lignes pour me raconter le film, bien, sauf que je pensais avoir indiqué assez clairement que je postais pas pour en faire une review. Tu sais, ce n'est pas parce que tu n'es pas très malin qu'il faut voir un blog de critiques ici, si moi ou les autres tauliers avons envie de poster un article simplement pour dire qu'on déroulerait bien les trois kilomètres de pellicule de ton film préféré pour dessiner des bites sur chaque image, on va pas s'emmerder. Et si on a envie de parler simplement d'un angle d'un film, on le fait. Mais bon on sait qu'on a des lecteurs un peu lents, donc écoute la prochaine fois juste pour toi je mettrai des petits gif animés de panneaux triangulaires spécial débiles mentaux.

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  11. @ LM : je m'en branle de Morsay et toi aussi arrête de poster des commentaires trop longs.

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  12. Oui arrêtez de poster des commentaires trop longs, il y a des femelles qui viennent lire et on connait tous leur (in)capacité. (Ça va ce n'est pas trop long pour Melle lolilol je-bug-au-bout-de-trois-lignes-de-commentaire ?).
    Ceci dit c'est dommage de ne pas savoir accepter les critiques et les divergences d'opinion, il parait que c'est intellectuellement enrichissant. Signé : anonyme de 17:42.

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  13. Ce qui est quand même fascinant avec ASBAF, c'est qu'à chaque fois qu'on colle la moindre tape sur le museau des anonymes pour leur expliquer que leurs aboiements de cockers frustrés (tentatives de nous afficher comme arroseurs arrosés, j'imagine) sont complètement à côté de la plaque, faut toujours qu'ils retournent leur veste sur un tristounet "mais euh vous savez pas accepter la critique de toute façon" genre courrier des lecteurs de télérama.

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  14. @ Anonyme de 17h42 et 20h34 : C'est pas si je dis que certains commentaires sont chiants que je ne les ai pas lus (et compris), bien au contraire.
    Ce qui est intellectuellement enrichissant, c'est de surpasser ses frustrations personnelles liées à son expérience avec les femmes pour parvenir à éviter de faire de la pseudo provocation machiste des bacs à sable pleins de merdes de chats.

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  15. @ L.M > Le coup du "intellectuellement enrichissant" c'était de l'irone. Comme si sur ce blog on en avait quelques chose à foutre de l'avis des autres, seul le notre compte car nous seul avons raison, on est bien d'accord.

    Quant à la blondasse punk rock bobo de Paris dont la seule préoccupation de la journée doit être de choisir entre un kir à la mûre ou cassis voire royal, elle m'a l'air ma foi bien sympathique et divertissante avec une répartie pas trop mauvaise. FEED MY TROLL §§§

    Signé l'anonyme de chéplukel'eur.

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  16. Ouaip c'est bien la chose mais faudrait quand même pas voir à prendre le melon, si tu crois représenter "les autres" sur ce site de merde, tu te goures. Tu sais ce n'est pas parce que tu as passé 30 minutes à te creuser la tête pour poster un commentaire vaguement acide après lequel t'es passé pour un con qu'il faut généraliser la chose. Y'a tout un tas de connards qui ont déjà posté des trucs pour nous vanner ou nous envoyer chier et ça me fait souvent bien marrer, d'autant que l'échange est une des raisons pour lesquelles je kiffe écrire ici. D'un autre côté ça m'embêterait que tu le prennes personnellement, je suis un homme bon au fond.

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  17. si vous vous en branlez tellement alors pourquoi l'avoir vu ???

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  18. @ L.M. de 19:51 > Ouh là là j'en connais plus d'un comme ça, du genre à partir sur du hors-sujet en se croyant plus intelligent que tout le monde, ses interlocuteurs les moins impressionnables mettent environ 3 secondes à se rendre compte qu'en fait y en a sérieusement rien à foutre de ce qu'il raconte.
    Et il recommence sur d'autres pauvres victimes innocentes, inlassablement. LE prototype du mec chiant qui essaie de briller en société alors qu'au fond il n'est qu'un type banal, voire une sombre merde inculte.

    Sinon +1 avec l'autre dame pas anonyme qui commente, c'est bien joli les avis de 45 lignes qui puent le "kikoo c'est moi qu'ai la plus grosse", mais c'est pas la quantité qui va vous rendre plus crédible.

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  19. @ Anonyme qui aurait pu mettre un pseudo : C'est extraordinaire de toujours essayer d'avoir le dernier mot. Ayant épuisé tes arguments pertinents (ou un peu moins hors sujet), tu es allé sur mon blog pour revenir avec des affirmations bancales sur mes occupations quotidiennes. Ca mérite un prix Nobel de la rhétorique!

    @ L.M. : On ne discute pas avec les débiles, on discute des débiles.

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  20. Si tout au long du film, on remplace "Facebook" par "Youporn", ça prend un tout autre sens.

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  21. J'adore ce blog !
    Je viens de perdre 5 minutes de mon dimanche pluvieux et merdique à lire tous les commentaires. Mais je les ait perdu gaiement.

    En tout cas vous êtes des sacrés enfoirés, j'ai adoré ce film.
    Même si froncièrement, je m'en bats un peu les steaks aussi de Mark Buizness Copyright Truc.

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  22. j'adore vous voir vous engueuler comme ça, ça devient plus intéressant que le review ! de toute façon j'aime pas le cinéma

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  23. @Kodzuki: Quand on est complètement idiot et inintéressant il faut bien se chercher une personnalité sur le net...

    @Barja: "Youpron" ? Qu'est-ce ?

    @Jérémy: content d'avoir rendu ta journée moins productive.

    @Anonyme: Ca tombe bien, je peux absolument pas saquer le cinoche non plus.

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  24. Ouaip, ça me rappelle vaguement le "lol/5" que t'avais balancé au Akwell (en moins bien).

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  25. J'ai rigolé comme une niaise devant le montage (comic sans ms spotted).
    Sinon, merci pour le badge les gars, quel bonheur de voir que les mecs d'asbaf ont pensé à moi en rentrant à la maison après des heures de souffrance en dissert de philo. (C'est aussi ça, le contact avec les fans)

    PS : merci de m'avoir fait économiser une place de ciné (une de plus), ce post m'a fait valider mon sale préjugé après que mon frère m'ait dit qu'il s'était endormi comme une merde pendant vingt minutes et qu'à son réveil, le film n'avait pas avancé. Too bad.

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  26. Et j'ai droit à un lien en plus...sacré honneur. Merci ASBAF. (Ma journée gagne +1 sur l'échelle du cool)

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  27. De rien, un plaisir. J'attends de lire ta dissert' !

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  28. Les gars putain ! C'est quand que vous déchirez un peu la dernière daube Potterienne ? Histoire de faire comprendre à ces glandus bouffeurs de billets ce qu'est le cinéma (juste au cas où vous auriez sacrifié 2h30 de votre misérable existence...) ! Tu me diras c'est le genre de film qu'on aime se farcir pour pouvoir martyriser son clavier à mort en insultant genre méchamment des producteurs véreux et des acteurs étrons au charisme de moules libannaises. A bon entendeur, salut.
    Mais c'est certainement le blogue ciné le plus pourri de l'internet ma parole !

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  29. Excellent votre blog : du bon boulot, des critiques très drôles (si,si, à chaque fois que je viens j'apprécie vraiment vos articles).
    Pour "The social network", je suis pas de votre (ton ?) avis, puisque j'ai justement trouvé que Fincher avait rendu passionant le truc le plus emmerdant sur le papier. Et c'est ça qui m'a fait aimer ce film...

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  30. de toute façon c'est foireux comme business dès le départ. on est un putain de titanic et il sera trop tard quand on verra la face cachée du Zuckerberg (remarque l'enrobage que je me suis fait chier à créer pour balancer ma vanne, alors fait pas chier).

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  31. Moi j'ai trouvé ça pas mal the SN, j'y suis allée parce que la bande annonce était chouette, même l'affiche y avait un truc que j'avais jamais vu au ciné. Le film est certes plus classique, mais la polémique était marrante. Y avait des gens sur Face qui défendait grave Edwardo, genre "Mark pourquoi a tu abandonné ton meilleur ami, ou qu'est devenu ta petite amie (Mark est avec une autre)... La post séance était franchement drôle.

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Fous au moins un pseudo, les anonymes ça nous pète les yeukous.